Ce livre d’or vous permet de vous exprimer à propos du "Prix jeune mousquetaire" en apportant votre signature. Ce n’est pas un forum. Vos messages sont modérés pour éviter les spams.
Un moment magique, audacieux, qui devrait être la norme et qui nous rappelle pourquoi on écrit, pourquoi on vit, pourquoi on peut espérer. À la rencontre des jeunes (et des moins jeunes), d’une belle région et de ses vaillants chevaliers : professeurs, libraires, bibliothécaires, bénévoles, membres de l’éducation nationale de manière générale. La palme à Eric Busson et sa famille ; foncez, sans hésiter. Continuez, persévérons.
Clément Camar-Mercier
Tant de bienveillance et de passion pour faire circuler la littérature contemporaine, pour faire se rencontrer romanciers, primo-romanciers, pas primo-romanciers, jeunes lecteurs et lectrices, pas que jeunes...
C’est une chance de savoir son roman ainsi lu, discuté, partagé. Sans parler de la convivialité de ces rencontres... bravo encore à la petite équipe qui les fait exister !
Adèle Gascuel
À dire vrai, ça fait un moment déjà que j’ai ralenti la cadence des "rencontres en librairies", "animations en classe", "signatures en salon"... Parce que ça m’épuise. Parce que des fois c’est chouette, et des fois c’est chiant. Mais je rentre des rencontres de Nogaro et de leurs activités annexes pleine d’énergie. Gavée de bonnes ondes. Nourrie par les rencontres, par la lumière (et par le confit de canard).
Merci à Eric, Myriam (ainsi que Flora et Juliette) pour leur accueil exceptionnel.
Myriam Leroy
Entre les discussions à bâtons rompus, toutes générations confondues, les tables rondes, les rencontres en médiathèque, en librairie, autour d’un film... Je rentre dans ma Sarthe natale avec une énergie neuve et une grande gratitude. Merci à celles et ceux qui ont permis ce moment magique.
Louis Cabaret
Après une première expérience enthousiasmante, en 2016, je craignais d’être déçue. C’est l’inverse. J’ai été enchantée de bout en bout par ces rencontres. Que ce soit l’implication des jeunes, leur regard singulier, l’engagement exemplaire des organisateurs et de leurs complices enseignants, libraires, mediathécaires, tout et tous étaient au rendez-vous. Sans compter la gentillesse et la simplicité rencontrées partout (et on circule beaucoup).
Merci, très sincèrement, pour ces heures miraculeuses.
Carole Zalberg
Bonjour,
ceci est un test du gentil webmestre pour vérifier si grâce à sa réparation le livre d’or fonctionne à nouveau.
Jluc
Merci mille fois à Eric Busson , Myriam, Flora, Audrey, aux extraordinaires lycéens et lycéennes gersois.es, à Julie, Ariadna, Mathieu de la Librairie La Méridienne (j’ai l’impression d’être chez moi quand je viens vous voir), aux sublimes membresses de la Médiathèque de Fleurance, à Christine qui m’a raccompagné malgré un orage d’apocalypse, à Josée, déesse absolue et intemporelle, à Richard, Tiffany et Gaëlle de La chouette qui lit à Marciac pour ces rencontres formidables, grande joie littéraire et ripailles de vieux françois ! Les rencontres littéraires de Nogaro est le meilleur festival auquel j’ai eu la chance de participer. Quatre jours suspendus dans le temps, que je n’oublierai pas.
Guillaume Lebrun
Où une contrebande d’ail frais s’organise au fond d’une médiathèque, où Socrate t’offre une tablette de chocolat un samedi matin, où les lycéens dézinguent l’idée que les jeunes-c’est-rien-que-des-branleurs-qui-lisent-plus-gnagnagnagna, où Céline Dion surgit dans une voiture lancée à toute berzingue sur une nationale, où l’armagnac se déguste en plein après-midi, où un cocker tient une librairie, où une chouette sacrément chouette lit, où tu découvres - ô foutu fatum - une sérieuse compulsion pour la variété des 80’ chez tes comparses, et où le Gers devient l’épicentre de l’enjaillade - de qualité, monsieur.
🦆 Merci le festival de Nogaro ! 🦆
Laurine Roux
Ah Marciac ! Ah Nogaro ! Je n’ai pas pris une seule photo en trois jours, tant ces incroyables Rencontres littéraires m’ont scotchée dans le moment présent. Je suis rentrée à Strasbourg avec un "léger" pincement au cœur et des entorses aux zygomatiques tellement nous avons ri et chanté. Les mots sont de bien pauvres trésors pour décrire l’intensité de ce séjour dans le Gers donc je ne m’étendrai pas.
Eric, Myriam, Flora, Maelis, Richard, Tiffany, Gaëlle, Guillaume, Laurine, Cornélius Rouge ( tonton B.), Marie ( Vingtras), Jeanne, Anna de Sandre, Maylis, Josée , les lycéens passionnés de Nogaro et d’ailleurs, et pardon pour tous ceux que j’oublie...
UN MERCI MAJUSCULE. Qu’est-ce qu’il était bon, ce tourbillon de la vie !❤
Céline RIGHI
Rentré à Paris et pourtant, la tête encore un peu à Nogaro. Difficile de ne pas garder en tête les moments passés chez vous. Difficile, d’oublier les gens, les rencontres, les échanges, les sourires et les visages, toutes générations confondues. Ces souvenirs resteront, ils me rappelleront, les jours d’inquiétude, que le monde, l’avenir, ne sont pas si sombres, que les gens lisent, qu’ils parlent des livres, que les livres leur parlent.
Que mille Nogaro fleurissent et le monde sera meilleur.
Merci pour votre accueil, merci à tous.
Lucas Belvaux
Ce sont des jours où les livres sont au coeur de débats passionnés qui rendent la littérature vivante ! Quel incroyable engagement de la part de ces jeunes ! Les jeunes lisent, oui ! Et ils lisent incroyablement bien ! Avec une finesse qui en ferait pâlir certains ! Bravo à ces lycéens, mais aussi à l’équipe enseignante qui rend ce prix possible, et un bravo tout particulier à Eric, le chef des mousquetaires !
Alexandra Koszelyk
Quand je dis que les livres changent la vie ! Un grand merci à Eric, aux lycéens, aux parents, aux proches, aux libraires, aux médiathèques partenaires, aux parrains, aux auteurs : à tout ce collectif qui se met à fourmiller pour créer cet événement pas comme les autres. Quelle énergie déployée ; quel engagement pour la littérature ; quel message envoyé aux lycéens !
Maud Ventura
Le livre d’or. Exercice périlleux et jamais aussi émouvant que les mots échangés avec les élèves. Merci à vous pour cet investissement, ces partages, merci pour le carnet d’encouragements et les débats impayables, merci pour l’élan, la jeunesse, l’ardeur et les fou-rires. Merci à Louise, Nils et Agathe, merci à Flora, Maelys et Aaron.
Et encore bravo à tous les mousquetaires de Nogaro ! A toutes les rêveuses, les artistes de la scène, les futurs journalistes, les déjà réalisateurs, les supers créatrices que j’ai pu y croiser ;)
Big up bien sûr aux profs et aux cadres de ces rencontres qui donnent furieusement envie de revenir.
Maintenant, il ne reste plus qu’à écrire le deuxième ! ;)
Julie Ruocco
Ce n’est pas courant pour une éditrice d’être ainsi mise ainsi en avant pendant un festival littéraire. J’ai vécu une vie d’auteur pendant 48 heures et on peut dire que j’ai eu de la chance que ça m’arrive pendant les Rencontres littéraires de Nogaro. Quel accueil chaleureux ! Quelle émotion face à l’enthousiasme de tous ces lycéens !
Merci pour tout et... à l’année prochaine avec Marie Vingtras !
Jeanne Grange
Encore toutes nos félicitations aux organisateurs et aux lycéens pour cette édition à nouveau très réussie et particulièrement riche en émotion. Comme l’an dernier, ce furent de bien belles rencontres autour du livre… Très heureux d’y avoir pris part, d’avoir retrouvé certain(e)s et d’avoir fait la connaissance d’autres.
Décidément un évènement à part dans le monde littéraire et dans nos cœurs.
Ludovic Manchette & Christian Niemiec
Il y a du D’Artagnan dans ces rencontres. Le collectif, l’aventure, la bonne humeur, la convivialité,la littérature et bien sûr, la gastronomie.
Il y a aussi cette place à part qu’occupent ces journées. Elle tient à cet engagement des lycéens qui, à travers leur association, réussissent à créer une dynamique joyeuse où tous les acteurs du livre du Gers s’investissent.
Je chérirai longtemps mon carnet d’or, rempli des appréciations des lecteurs et lectrices.
Être sélectionnée pour le prix Jeune Mousquetaire était en soi une joie. Rencontrer un tel public, un cadeau exceptionnel.
Alex Daunel
Que de doux souvenirs je ramène dans mes valises. Pour mes premières rencontres avec des lycéens, je n’aurais pas pu rêver mieux. Je garderai précieusement le petit carnet rempli de mots tendres et de dessins remis par les élèves. C’est mon nouveau trésor. Le vestige de ces quelques jours passés au festival Jeune Mousquetaire.
Merci à toute l’équipe qui a rendu cela possible.
Merci pour tout.
Juliette Adam
Le "Prix du Jeune Mousquetaire" est de ces aventures qui réchauffent le cœur et justifient pleinement l’acte d’écrire. A Nogaro et autour de l’équipe réunie par Eric Busson, souffle joyeusement le vent de l’esprit. Esprit d’échange, esprit d’amitié, et liberté d’esprit. Au-delà des âges, des origines, des préoccupations, le LIVRE instaure la patrie de l’imaginaire, sans frontières ni limites. Cette utopie est le seul endroit du monde où il fasse bon vivre. Merci de l’avoir réalisée.
François-Henri Soulié
Un immense merci à l’équipe d’organisation qui a créé un événement fabuleux. Un événement fort et puissant, qui résiste à tout : aux pluies diluviennes, aux séances de judo et à la répétition de la fanfare locale :) car il y a beaucoup de bonne humeur, d’amitié et d’engagement dans ces rencontres. Et quel plaisir de faire la connaissance des auteurs et autrices de la "promo Nogaro 2021" ! Merci encore, et longue vie aux Mousquetaires !
Laurent Petitmangin
Un immense merci aux jeunes et moins jeunes membres du jury et de l’organisation des rencontres littéraires ! Les rencontres étaient passionnantes, émouvantes, les soirées chaleureuses, gourmandes, les libraires formidables, le pousse-rapière excellent... Que dire d’autre ? On reviendra avec grand plaisir à Nogaro, pays de littérature et de chaleur humaine ! A bientôt,
Maylis Adhémar
Nogaro, Lectoure, Marciac, Mirande... Beaucoup d’émotion à échanger avec les lycéennes et les lycéens jurés du Prix Jeune Mousquetaire, mais aussi avec les libraires, les équipes pédagogiques et les autres auteurs. L’intensité et la précision des lectures, le grand respect dont les jeunes ont fait montre durant les délibérations, la qualité d’écoute, l’engagement personnel : un émerveillement. Les adolescents lisent, bien sûr qu’ils lisent, avec une intelligence et une sensibilité remarquables. Ce festival est important. Il met à terre tous les clichés stupides sur "la ruralité" et prouve que la littérature, plus que jamais, est un pont entre les mondes et les âges. Merci à Éric Busson, à tous les organisateurs et aux participants, surtout en ces temps obscurément covidiens. Ces quelques jours, je le sais, laisseront leur empreinte en moi. Et à toutes celles et tous ceux qui viendront à l’avenir, quelle chance vous avez !
Caroline Laurent
Encore mille mercis pour ce prix, très cher à notre cœur. Quel formidable encouragement pour la suite !
Nous étions très impatients de rencontrer des lycéens, d’autant plus que c’était une première pour nous. Ces trois jours d’échanges avec ces jeunes gens curieux et passionnés ont été merveilleux. Nous espérons qu’ils en garderont un aussi bon souvenir que nous.
Merci encore aux organisateurs, Eric Busson en tête, à l’association « Un livre dans la poche », aux lycées participants, aux professeurs, libraires, bibliothécaires et employés de médiathèques qui ont joué le jeu avec enthousiasme, ainsi qu’à tous les partenaires de ces « Rencontres littéraires de Nogaro ».
Ce salon fut aussi pour nous l’occasion de faire la connaissance d’auteurs aussi talentueux que sympathiques, dont la compagnie et la conversation nous ont enchantés.
C’est donc avec un immense plaisir que nous reviendrons pour la prochaine édition.
Avec toute notre amitié,
Ludovic Manchette & Christian Niemiec
Mais quel bonheur d’avoir pu participer à ces rencontres ! Et quelle émotion de voir des jeunes s’emparer des Orageuses en le discutant et en s’y reconnaissant... merci !!
Marcia Burnier
Bonjour Les amis,
Je n’étais pas présent cette année mais si c’était aussi bien que l’année dernière, alors c’était parfait. Mais vous connaissant, je suis certain que vous avez fait encore mieux ! Félicitations à Vincent Lahouze et à tous les sélectionnés ! Bravo à vous tous ! Continuez !
Jean-Claude Lalumière
C’est la troisième fois que je viens aux rencontres littéraires de Nogaro. A chaque fois, je me sens un peu en vacances. L’accueil est admirable, les rencontres avec les lycéens toujours surprenantes et la découverte des autres auteurs un excellent moment. Merci à tous les organisateurs, aux professeurs, aux documentalistes, aux deux libraires, aux élèves et, aux maîtres de cérémonie : Eric et Myriam.
Mention spéciale au lycée de Condom, cadre superbe et chargé d’histoire qui m’a accueilli en décembre et en mai : collège pour garçons puis séminaire avant de devenir couvent des Ursulines et lycée mixte. Bref, des vieilles pierres dont l’énergie inspirante se transmet aux élèves :-)
Pierre Raufast
Un immense merci à Eric et à l’ensemble de l’équipe pour ces moments passés à Nogaro. Ces rencontres avec les lycéens donnent confiance en l’avenir et prouvent que la littérature reste un merveilleux moyen de rassembler et de créer des échanges. Ce furent de très belles journées, enrichissantes, pleines de gaieté et de découvertes !
Longue vie aux Rencontres de Nogaro.
Franck Bouysse
« Quand j’étais petit, j’étais fan de D’Artagnan, j’étais éperdument amoureux de Milady, ennemi juré de Richelieu, je me battais à l’épée avec un roseau, dans le jardin avec mon meilleur ami. Des années plus tard, je reçois un coup de fil, je comprends un mot sur deux, j’entends juste que j’ai gagné et je ne m’y attends tellement pas. Quelle joie, quelle fierté que de recevoir le « Prix Jeune Mousquetaire du premier Roman » de Nogaro !
On n’oublie pas une première fois, jamais. Et je suis heureux que ce soit avec vous. Chaque rencontre est émouvante, mais celle-ci avait un goût de “reviens y”. Et cela tombe bien, je reviens l’année prochaine. Grâce à vous, toutes et tous, j’ai pu être tout intimidé face à Franck Bouysse et Bernard Thomasson , me marrer durant des heures avec Pauline Delabroy-Allard, avoir des discussions passionnantes avec Camille Brunel, découvrir les plumes d’Emmanuelle Favier, de Pierre Raufast et Frédérique Martin...
J’ai l’impression de faire un discours comme si j’avais remporté la Palme d’Or, c’est tout comme. Merci à Eric Busson et à sa femme Myriam pour l’organisation, Merci aux lycées qui participaient au Prix,à Monsieur le maire de Nogaro, à Manon pour m’avoir invité dans sa médiathèque à Riscle, merci à José pour l’émission sur Radio D’Artagnan, merci à Zoé D’Aquino pour avoir su mener tout cela d’une main de maîtresse, et merci pour ce petit carnet avec vos mots, vos ressentis, que je garde précieusement avec moi, depuis.
Je suis heureux de voir que des jeunes adultes s’investissent dans la lecture, qu’ils prennent encore plaisir à lire, à découvrir, à s’ouvrir au monde, encore et toujours.
A l’année prochaine »
Vincent Lahouze
23 mai 2019Quelle joie, vraiment, lorsque je suis montée dans mon avion direction les Pyrénées pour la 14ème édition des Rencontres littéraires de Nogaro… et pourtant, je ne savais pas encore ce que j’allais y trouver !
Ça a commencé par les magnifiques paysages du Gers, pourtant sous la pluie, aperçus et admirés depuis la voiture, par la découverte de villages où j’ai eu directement envie d’habiter (oui), par la joie de retrouver Camille Brunel et de découvrir Vincent Lahouze, Frédérique Martin, Bernard Thomasson, Emmanuelle Favier et Franck Bouysse autour d’un délicieux repas. Sans compter, évidemment, la rencontre avec Myriam et Éric, organisateurs incroyables de gentillesse.
Et puis ça a continué au château de Laubade. Une sacrée scène, ça, la poignée d’écrivains marchant sous des parapluies dans les vignes. Une sacrée scène que je ne suis pas prête d’oublier. Une visite rare, beaucoup de rires, et une dégustation d’Armagnac. Vraiment, quelle chance !
Et puis le clou de la journée, les rencontres elles-mêmes. Avec les élèves, incroyables de maturité, qui m’ont fait tellement chaud au cœur avec leurs questions d’une pertinence rare, lors d’une table ronde avec Frédérique Martin, et puis ensuite, lors de la remise du prix, qui m’ont vraiment émue par leur engagement, leur souhait sensible de porter les livres qu’ils ont aimé, qui les ont bouleversés.
Voilà. La joie de Vincent, le lauréat, les carnets brodés emplis de petits mots sur nos romans (j’avoue quelques larmes lorsque j’ai lu le mien), les cakes au Carambar (oui), la recette des cakes au Carambar (oui, oui), les conversations avec les unes, les uns, les autres, sur l’écriture, la lecture, la vie, hein, bien sûr.
Et déjà il fallait aller se coucher. Comme les petits enfants qui veillent trop tard, je n’en avais pas envie, évidemment. Éric me l’avait dit, je ne l’avais pas cru mais il avait raison : la journée est passée en un clin d’œil. Bravo et merci à toutes et à tous, c’est une telle et grande joie, j’insiste, de voir que de tels beaux moments existent autour des mots, de nos mots.
A très bien vite
Pauline Delabroy-Allard
Je n’ai jamais coupé le cordon ombilical avec le lycée : comme les élèves des rencontres de Nogaro, j’ai eu la chance d’étudier du temps d’un professeur hyperactif & hyperenthousiaste comme Eric. J’ai revécu tout ça ce week-end, à Nogaro, ce petit "kick" d’un autre âge dont je ne peux plus être que spectateur, mais ça me suffit. C’était plus que des rencontres littéraires, c’était des rencontres littéraires & lycéennes. J’ai aimé voir les élèves chercher leur courage et bafouiller en lisant, partir en fous rires, hésiter avant de m’adresser la parole comme si j’étais intimidant, poser des questions avec le bras levé très droit très haut, même pleurer d’émotion quand c’était fini (#ComplexeDeNéron ?!)... Tout était très beau, vraiment. Merci Eric, je te souhaite d’avoir des premiers romans qui te seront dédiés un jour, par des élèves passés de l’autre côté des textes - tu les mérites ! (oh et, merci pour les mignardises véganes ! Gers can do it too !!)
Camille Brunel
Une belle idée, ce livre d’or, pour remercier, Eric Busson et toute son équipe, de ces interventions formidables, de l’accueil qui nous a été réservé, tant au niveau du Lycée de Mirande (dont je salue ici Eric, Josyane, Sandrine, Lauren et tous leurs élèves) que des rencontres littéraires elles-mêmes.
Cher Eric, ton équipe et toi faites un travail gigantesque pour mener un tel évènement sur une aussi longue durée.
Il y a les gens qui parlent, qui jugent et qui - bien souvent - n’en foutent pas une rame. Et puis il y a celles et ceux qui entrent dans la mêlée et mettent les mains dans le cambouis jusqu’aux coudes. Tu es de ceux-là et tous les bénévoles derrière toi, jeunes et vieux réunis, suivent ton exemple.
Soyez infiniment remerciés du sens que vous apportez ainsi à divers niveaux et de tout ce que vous aurez semé au fil du temps.
Je vous embrasse, en attendant d’avoir le plaisir de vous retrouver un jour.
Frédérique Martin
Quel bonheur de revenir à Nogaro.
Quel privilège de pouvoir assister aux délibérations aussi intelligentes qu’émouvantes des lycéens.
Quel plaisir de retrouver Éric, Myriam, Zoé et toute l’équipe de ces Rencontres si spéciales.
Quelle émotion que d’assister à la naissance de jeunes écrivains talentueux (Vincent Lahouze le génial et joyeux Mousquetaire de cette année, mais aussi les formidables finalistes Pauline Delabroy-Allard et Camille Brunel), après être passée par là il y a pourtant si peu de temps – mais le passage symbolique est tel que l’expérience du premier roman reste unique et non renouvelable.
Amis de Nogaro, merci pour tout ce que vous faites, c’est tellement, tellement important. Et sachez que si vous continuez de recevoir si bien les auteurs, ils continueront à revenir. C’est à vos risques et périls !
Emmanuelle Favier
Chers amis du Gers. Dans ce même livre d’or, en 2012, j’écrivais que
votre "terre appelle un retour". Et bien voilà ! C’est fait. Et dans
quelles conditions !
L’honneur et la responsabilité de présider vos rencontres littéraires.
Fichtre...
J’ai été super heureux de revenir à Nogaro et de revoir de nouveaux
jeunes visages enthousiastes et de nouvelles paires d’yeux avides de lire.
J’ai été super impressionné et intimidé de me retrouver face à vous au
ciné, c’est pas un concert de Johnny mais ça ne laisse pas indifférent,
croyez-moi.
J’ai été super content de pouvoir réfléchir avec quelques-uns
d’entre-vous, en atelier, sur l’écriture et ses différentes formes.
Bref, j’ai passé deux super journées !
Bon, maintenant y’a plus qu’à lire les 5 livres que vous avez choisis. Je
suis sûr qu’on va dénicher une perle. Et on se retrouve au mois de
mai...
Bernard
Bernard Thomasson
Je suis content d’être le webmestre de ce site. Je teste le livre d’or.
Jean-Luc
La convivialité et l’ambiance des rencontres de Nogaro : incomparable !
Je ne suis qu’un jeune auteur et je n’ai, de ce fait, pas encore participé à beaucoup de salons, mais j’ai une certitude : celui-ci est bien particulier. Comme le disait très justement Niko Tackian, il y a une vraie fraternité autour de l’évènement qu’organisent Eric Busson et son équipe, et l’on y est accueilli davantage en ami qu’en auteur. Mon seul regret sera de ne pas avoir pu rester plus longtemps. Les moments d’échanges avec les lycéens donnent chaud au cœur, et poussent à écrire toujours plus. J’ai été très touché par leurs mots, que ce soit en direct, lors de la lecture, ou encore à travers le petit livre d’or (merci au passage pour le joli dessin avec la croix occitane et la tête de maure !)
Bref, vous l’aurez compris, n’hésitez pas un instant à mettre un pied dans le Gers. Vive Nogaro, vive l’armagnac, et longue vie au Prix Jeune Mousquetaire !
A bientôt, Amitié
Paul-Bernard Moracchini
Depuis cinq ans que je "tourne" dans le circuit des salons et des événements littéraires à raison d’une cinquantaine par an, je n’ai jamais connu de rencontre aussi forte et prenante que ce Prix Jeune Mousquetaire.
Tout d’abord ce principe de récompenser des premiers romans, dans un système où la "sur -notoriété" de quelques-uns est la règle, est une chance exceptionnelle pour les jeunes auteurs. Dans un pays où la moyenne des ventes d’un premier roman est de 760, la récompense assure au lauréat, peu ou prou, les droits d’auteurs correspondant à cette vente et c’est une excellente chose.
Ensuite, associer dans la préparation et les débats cinq nouveaux auteurs à cinq auteurs "confirmés" est une heureuse volonté de créer un lien entre ce qui s’écrit et ce qui s’écrira. Un lien très rare dans l’organisation générale des manifestations littéraires et qui à lui seul mériterait une reconnaissance particulière.
Mais surtout ce prix se distingue par l’exceptionnelle implication des lycéens. Fédérer plusieurs lycées, en prévoir d’autres encore l’année prochaine ou très bientôt si j’ai bien compris, amener les élèves à lire, à présenter, à défendre un premier roman, voilà quelque chose qui réchauffe le cœur des auteurs et qui s’inscrit comme un gage, presque à contre-courant, de ce que la jeunesse et la littérature peuvent s’apporter réciproquement.
J’ai bien entendu été impressionné par le travail de toutes les équipes autour de Éric Busson. L’implication des professeurs dans les lycées, des volontaires dans les événements et des libraires. L’incroyable dynamisme de la Junior association pour piloter le projet. Cette ouverture aussi pour élargir l’événement à d’autres. Signatures en bibliothèques, rencontre en médiathèques. Comme une générosité, un partage, à une époque où bien des événements se créent ou se perpétuent dans la concurrence et la compétition.
Et puis surtout, récompense suprême de nos jours, j’ai été profondément marqué par le plaisir des lycéens qui se sentait jusque dans leurs petits sketches pour la présentation des auteurs, mais aussi dans ce bonheur qu’on devinait dans leurs regards d’avoir de tels professeurs, capables d’imaginer, d’organiser, de rendre possible un tel événement. J’ai eu moi aussi un tel professeur au lycée. À lui seul il a déterminé ma volonté d’écrire. Ces professeurs-là vous marquent pour la vie. En bien.
Alors je voudrais conclure en m’adressant à ceux qui tiennent dans leurs mains, par le pouvoir de l’argent et des subventions, le destin d’aussi belles, productives et fructueuses rencontres. Élus ou partenaires, venez vous rendre compte par vous-même de la force, de la puissance du lien que crée la culture entre les jeunes, entre les générations, entre une population et sa ville, entre les villages et leur région. Autant que le maillage économique, le maillage culturel est indispensable à la survie d’un territoire. Ne détricotez pas ce maillage. Ne sapez pas l’enthousiasme de ceux qui se donnent sans compter pour le tisser. Ne décevez pas l’espérance d’une jeunesse pour une vie autre que purement matérialiste. Assurez-leur au contraire les moyens de continuer à faire rayonner de façon intelligente et originale leur village, leur ville, leur région grâce à cet événement remarquable qui devrait servir d’exemple à bien d’autres villages, villes ou région.
À la relecture de ce texte, je m’aperçois qu’il m’est venu spontanément plus comme un plaidoyer et qu’il y manque un peu de toute cette émotion que Françoise et moi avons ressentie pendant ces quelques jours. Amour des livres et de la littérature, amour des lycéens pour leurs profs, amour des habitants pour leur territoire. Alors sachez que nous avons subrepticement volé, emporté, dans nos bagages un peu de cet amour, et que s’il venait à s’éteindre ou juste à vaciller, nous n’hésiterions pas à revenir le ranimer du côté de chez vous.
Ian Manook / Roy Braverman et Françoise.
Et après le marathon à l’aéroport d’Orly, voici venue la récompense, la plus précieuse de toutes pour un auteur : rencontrer de jeunes lecteurs attentifs et passionnés, et se rendre compte que nos mots ont su les toucher et… plus gratifiant encore, les aider parfois à réfléchir sur le sens de la vie, de leur vie, et sur l’homme, cette étrange créature toute de contradictions vêtue. Il n’y a pas pour moi de meilleure définition de ce qu’est la littérature : résister par la quête du sens à toutes les entreprises visant à appauvrir notre humanité. C’est donc évidemment pour tous ces lycéens que j’écris ces mots, en espérant qu’ils sauront eux-mêmes, avec leur sensibilité, tracer leurs propres lignes et poursuivre humblement la tâche de vivre libres et conscients. Je les remercie du fond du cœur, ainsi qu’Eric Busson dont l’énergie et la passion sont remarquables, mais aussi tous les auteurs présents et tous les autres acteurs de ces belles rencontres.
Florent Bottero
Un grand merci à Eric, aux lycéens, aux libraires et animateurs pour cette belle et intense journée de rencontres et d’échanges. Quelle chance de rencontrer des jeunes gens sensibles, ouverts, investis ! Je garde un très beau souvenir de nos échanges – j’ai aimé les moments de silences, quand personne n’ose encore parler, ce sont aussi des moments pleins, comme j’ai aimé chacune de vos remarques et de vos questions, personnelles, profondes, emplies de tact et d’intelligence. Je reste aussi très émue de vos lectures (une pensée toute particulière à Oriane dont la voix a donné vie au texte d’une manière si forte que j’ai eu le sentiment de l’entendre pour la première fois). Merci pour toutes vos attentions dont ce carnet dans lequel vous avez pris le temps d’inscrire vos sentiments de lecture. C’est un très beau cadeau. Bravo pour l’organisation formidable de ces précieux moments de rencontres. Longue vie aux belles découvertes et au prix de Nogaro ! Amitiés. Ariane Monnier
J’ai d’abord très franchement cru, en décrochant mon téléphone, que de petits plaisantins me tournaient en bourrique. Mais non, c’était la merveilleuse Zoé qui m’appelait pour m’annoncer la grande nouvelle : j’allais être adoubée par le Mousquetaire confirmé Jean-Marc Ceci, qui me remettrait la couronne de Jeune Mousquetaire en devenir ! Ce fut un joyeux périple jusqu’à Nogaro, en compagnie des autres géniaux finalistes (Florent Bottero, Ariane Monnier, Paul-Bernard Moracchini et Gaël Octavia). Éric le Grand Organisateur fut bon : il fut prévenant, bienveillant, chaleureux, patient, efficace, engagé, ému. Émue, je le fus aussi, sur cette scène recevant ma couronne mais surtout avant, écoutant les lycéens présenter les livres et dire combien, comme à nous, la littérature leur importe, combien elle est capable de changer une vie, combien elle peut donner à chacun une part du courage d’être soi. Merci, merci, merci à toute l’équipe des Rencontres littéraires de Nogaro, à toutes celles et ceux qui les rendent possibles et contribuent à faire que ce monde aille un peu mieux.
Emmanuelle Favier
De mémoire de mousquetaire, on n’avait jamais vu cela ! Eric m’ait annoncé que je verrais l’envers du décor des votes : eh bien, quel suspense !
Patrick Fiori à l’aéroport, 69 année Armagnac, le restaurant dans la péniche, Plaisance et ses 2 places (ah les plaisantins !), les petits déjeuners gargantuesques du Ripa Alta, un temps aussi pluvieux que dans mon sud belge, et la passation à la lauréate Emmanuelle Favier (félicitations à elle !).
Des retrouvailles avec vous, les étudiants, émouvants, intelligents, sensibles, et vous les enseignants qui les soutenez (quel beau métier vous faites). De riches rencontres : Jean-Claude, Ian, Niko, Valentine, et aussi Ariane, Florent, Gaël, Paul, et aussi Sonia, Alexandra, Marguerite, Sabine, Françoise et tous les autres !
Myriam et Eric, comme le fil à coudre qui tient tout cela ensemble.
Des rencontres littéraires intenses, des débats sensibles, des rires, des larmes, des sourires et des regards : la douleur du départ m’a rappelé combien vous êtes de riches et belles personnes ! Vivent les mousquetaires ! Vive le Roi !
Merci
Je vous embrasse avec toute mon amitié.
Jean-Marc Ceci
Finaliste Jeune Mousquetaire quand on a passé une bonne partie de son enfance l’épée à la main à jouer à D’Artagnan, Cadette de Gascogne (incluons, incluons), ça ne s’invente pas. Hop hop hop, l’aérienne monture déchire le ciel et dépose ses trois mousquetaires (qui sont bien plus que trois, en toute logique) dans la douceur... de l’eau bénite, la voiture fera le reste. Point de perfide cardinal mais un Eric Busson au grand sourire et aux petits soins, de quoi rassurer d’emblée les nouvelles recrues. Une goutte (mais si, une goutte) d’Armagnac plus tard, cadettes et cadets découvrent des lycéennes très investies, des libraires énergiques, des tas de jolis gens bienveillants, et puis les bonnes histoires des uns et des autres, les trucs d’écriture, l’envie de se connaître, l’amitié. L’au revoir arrive trop vite. A défaut de croiser le fer, on se lira mutuellement, Mousquetaires, on se suivra de loin en attendant le plaisir de se retrouver.
Gaël Octavia
Moi c’est Irina, j’étais accompagnatrice de jurées du lycée de Condom. Je voudrais saluer ici le travail des deux enseignantes Esther et Agathe qui sont toutes les deux des personnes d’exception et l’implication touchante de leurs élèves. Ensuite, pendant les rencontres, j’étais surprise (agréablement, bien entendu) par l’énergie que chacun y mets, en particulier Eric, qui porte ce projet avec les jeunes de Nogaro depuis 12 ans. Bravo à tous, j’espère que vous allez pouvoir continuer pendant les 100 ans à venir et plus !
Irina Teodorescu
Cher.e.s ami.e.s,
D’Artagnan est monté à Paris ; vous m’en avez fait descendre, pour mon plus grand plaisir.
Merci de ce si bel accueil (j’imagine tout le travail invisible qu’il a supposé).
Nous pouvons être fier.e.s de notre jeunesse. Les collégien.ne.s et lycéen.ne.s rencontré.e.s à Nogaro m’ont impressionné, et ému. J’espère de tout cœur les revoir et qui sait, les lire à mon tour...
Vive la littérature, qui nous a réunis !
Bien chaleureusement,
Omar Benlaala
De ma Gaume belge, quand j’ai appris que mon roman était sélectionné pour un prix dans le sud-ouest, cela a été un moment magique !
Le voyage s’annonçait bien. Eric Busson m’avait écrit : « Je vous envoie un plan pour passer par de très jolies routes et des petits villages ».
Quelles rencontres ! Je vous remercie du fond du coeur, Eric, Myriam, l’équipe, la mairie, la librairie, et puis les jeunes. Pour votre spontanéité, vos gentilles paroles, vos regards silencieux, la couronne, vos origamis, vos dédicaces. Vous m’avez impressionné et touché.
Merci pour ce coup de fil, ce jeudi. J’entends encore vos cris au téléphone. Cela m’a fait chaud au cœur.
Merci pour ce prix.
Je suis content de vous avoir rencontrés, Myriam, Eric x 3, Sabine, Carole, Claire, Alain, Irina, Christian, Marie, Omar, Elodie, et aussi Flora, Marguerite, Tifanie, Coline et tous les autres.
Je vous souhaite de continuer, ce que vous faites est formidable.
Je vous embrasse.
Amitiés.
Jean-Marc Ceci - 14 Mai 2017
Le livre d’or annoté des lycéens restera mon petit trésor de guerre de cette journée des Jeunes Mousquetaires !
Quelle énergie ! Quel enthousiasme !
Merci aux lycéens et à leur intarissable gout de la lecture.
Merci aussi à Eric, Myriam et toute la belle équipe de Nogaro sans qui rien de tout cela n’aurait pu être possible !
A bientôt j’espère pour de prochaines aventures littéraires.
Elodie Llorca
Cher.e.s ami.e.s,
D’Artagnan est monté à Paris ; vous m’en avez fait descendre, pour mon plus grand plaisir.
Merci de ce si bel accueil (j’imagine tout le travail invisible qu’il a supposé).
Nous pouvons être fier.e.s de notre jeunesse. Les collégien.ne.s et lycéen.ne.s rencontré.e.s à Nogaro m’ont impressionné, et ému. J’espère de tout cœur les revoir et qui sait, les lire à mon tour...
Vive la littérature, qui nous a réunis !
Bien chaleureusement,
Omar Benlaala
Je suis revenu de Nogaro, la tête pleine de rapières sorties du fourreau, d’odeur de cuir et de musc de jument... Je n’avais pour moi que mes souvenirs du prix, et quelques cadeaux gastronomiques... Je dépérissais de nostalgie... Voyant ma langueur, hier, mon amour a ouvert grande la boîte à viande et j’ai tapé dans le pâté... Seigneur Dieu, quel fumet, et quels souvenirs... Pour certains, ce sera la madeleine, pour moi, dorénavant, le confit...
Vive le gras !
Vive les belles lettres !
Vive l’amour !
Et merci à la jeunesse de nous oindre ainsi de son enthousiasme primesautier !
Ag
Alain GUYARD
Quel bonheur d’être revenue parmi vous cette année, et deux fois ! Les rencontres avec les lycéens de Condom, Mirande et Nogaro sont toujours aussi riches, les questions vont à l’essentiel, au vital même : elles nous font réfléchir à notre métier, à la vie, à l’humain. Un immense merci à tous pour l’organisation sans faille, les belles choses, l’accueil généreux et la bonne humeur. À tous les jeunes Mousquetaires, je souhaite d’oser rêver et réaliser leur rêve.
Déborah Lévy-Bertherat
L’équipe, les lycéens, les rencontres, les dégustations, que des moments véritables. Amis (es) auteurs (es), à ne louper sous aucun prétexte.
Pascal Manoukian Le 22 Mai 2016
Depuis les rencontres de décembre jusqu’à la remise du prix,en passant par les deliberations passionnées et les conversations avec les lycéens, tout, dans cette aventure, a été merveilleux : bonheur de voir tant de jeunes s’investir avec un tel enthousiasme pour la littérature, joie du compagnonnage avec les autres écrivains, qu’ils soient novices ou chevronnés, plaisir d’être accueilli aussi chaleureusement par tous...
De tout coeur, merci et bravo pour cette initiative qui, si elle était reproduite ailleurs, pourrait changer la société en profondeur.
Carole Zalberg
Je suis venu rencontrer les mousquetaires sans savoir à quel point leurs fleurets allaient faire mouche. Une botte en plein cœur, un coup imparable de voir et de sentir cette jeunesse pleine d’enthousiasme et d’envie. Je me suis senti accueilli comme un frère par Eric et toute l’équipe. Ces quelques heures resteront gravées dans ma mémoire et mon cœur. Merci.
Niko Tackian
Je garde un délicieux souvenir de ces rencontres avec le public. Merci à toute l’équipe de faire (re)vivre nos romans parfois plus d’un an après leur sortie !
A quand le festival du deuxième roman ?
Denis Michelis
Un grand merci à tous ! Ce fut une grande chance de vous rencontrer ! Les mots et la littérature nous ont réunis et j ’étais si fière de compter parmi vos finalistes. Merci pour tous vos textes consignés dans notre livre d’or, merci à Eric et à Myriam, merci à tous !
Marie-Aimée Lebreton
Elle m’a téléphoné jeudi, vers 16h.
"La chance que tu as", de rentrer ainsi dans "le cercle des lauréats" ! m’a-t-elle dit.
Je n’ai pas mis "cent sept ans" à comprendre "les mots qu’on ne me dit pas" : "la fractale des raviolis" était lauréat du prix du jeune mousquetaire. J’étais aux anges.
Merci à tous les lycééns pour leur vote, merci à Eric, Myriam et toute l’équipe pour l’organisation quasi-parfaite (notamment ce petit vin rouge délicieux que j’aurai (je l’espère), plaisir à retrouver l’an prochain).
Comme Véronique, je garde le livre d’or dans mon sac à main (ou équivalent) et je le montre à tout le monde !
Pierre Raufast
9 juin 2015Merci à Eric, Myriam et toute l’équipe. Merci aux lycéens qui se sont investis, nous ont émus ou bien fait rire. Mention spéciale à Vincent. Merci pour ces rencontres. Merci également pour votre livre d’or que désormais je trimballe partout dans mon sac. Oserai-je dire : "Merci pour ce moment" ?
J’aurais aimé être plus en forme pour aller avec vous jusqu’au bout de la nuit gersoise mais mon vieux dos m’a lâchée. La prochaine fois… je vous embrasse tous.
Véronique Poulain Juin 2015
Le bonheur est dans le Gers ! Un immense merci à toute la belle équipe du prix Jeune Mousquetaire : Eric, ses collègues et amis, sa famille, et tous les jeunes, passionnés et passionnants, qui savent si bien faire vivre les livres en en parlant, en les lisant. J’ai beaucoup apprécié les discussions avec les lycéens, avec leurs profs et d’autres adultes, avec les autres auteurs aussi. Cette journée parmi vous a été merveilleuse, riche en belles rencontres, en visites passionnantes (non, je ne pense pas qu’à l’armagnac…), en repas délicieux... Quel sens de l’organisation, de l’accueil (merci à Jean-Luc et à Marie-Line) et de la convivialité ! Bref, mon seul regret, c’est d’avoir dû repartir…
Déborah Lévy-Bertherat, 11 Juin 2014
Bonjour à tous,
Un grand merci à Eric et à chacun des lycéens pour cette journée du Prix Jeune Mousquetaire placée sous le signe de la littérature et de la convivialité !
Bravo pour l’organisation et pour toute cette énergie qui entoure cette manifestation !
Ce 16 Mai 2014 a été l’occasion de belles rencontres et me laissera de beaux souvenirs dans l’attente d’un retour à Nogaro !
Bonne continuation à tous les Jeunes Mousquetaires de la région !
Et que chacun de vous préserve son enthousiasme communicatif !
A très bientôt.
Christian Carisey
Chères toutes et chers tous,
Je viens de toucher terre, ou plutôt Seine, encore nimbée de votre joyeuse passion du livre, de votre énergie collective stupéfiante.
Merci, très sincèrement, de votre accueil chaleureux et inventif.
Aujourd’hui, je me sens forte de votre soutien, plus que jamais déterminée et heureuse de poursuivre mes projets d’écriture.
Je vous en suis infiniment reconnaissante.
Avec toute mon amitié et,
soyez-en sûrs, je reviens vous voir l’an prochain !
Bien à vous toutes et tous,
Sophie Van Der Linden
Ce qui est bien avec le prix jeune mousquetaire du premier roman, c’est que ça file la super pêche. Cet hiver, quand j’ai été sélectionné, je me suis dit « Mazette, mon histoire n’est pas si branque que ça. Elle a touché des gens, des lycéens en plus ! ». C’est vachement important pour un premier roman(excusez mais, enthousiasme oblige, j’écris comme un djeun’s). Et puis, il y eut cette journée magique du mois de mai, pleine de spontanéité, de sincérité, d’échange, de fraîcheur (celle des lycéens et de la météo) et aussi… pleine d’Armagnac (hips). Bref, une vraie rencontre que je ne suis pas prêt d’oublier !
Ce qui n’est pas bien avec le prix du jeune mousquetaire, c’est que, premier roman oblige, on ne peut participer qu’une seule fois…
Vincent Desombre
Un prix du premier roman, c’est particulier. Avant la parution du premier, il n’y a rien : pas de roman, et pour celles et ceux qui n’ont rien publié du tout, pas d’auteur. On oscille entre « c’est génial ce que je fais » et « je suis une merde finie ! », entre des phases d’euphorie créatrice et des moments où l’on se retient de défenestrer son ordinateur.
Recevoir un prix décerné par une centaine de lycéennes et de lycéens (et quelques adultes !), c’est une très belle récompense qui donne beaucoup d’énergie pour la suite. C’était surtout un grand plaisir de passer cette journée dans le Gers et cette soirée riche en rencontres et en discussions. A toutes et tous, pour votre accueil, votre gentillesse et l’énergie que vous avez mise dans l’organisation de cet évènement : MERCI MERCI MERCI !!!
Nicolas Rouillé - 12 Juin 2013
Etre choisie par les élèves pour mon roman "Brioche" était un honneur. Venir à Nogaro a été un plaisir. Je me suis régalée à tous les sens du mot. Quel accueil chaleureux, quels beaux échanges, quelle gentillesse ! J’envie les auteurs de premier romans de 2014 qui découvriront à leur tour ce bel endroit et ces gens épatants. J’envisage même d’écrire un deuxième premier roman pour me faire réinviter ! Merci à tous.
Caroline Vié
Ceci est un test pour le livre d’or de l’édition 2013...
Jluc
Le retour est toujours périlleux, et en cela une énigme. Je me souviens vivement de ma première visite en 2011 pour de nombreuses raisons : la chaleur, les rencontres avec les élèves, les auteurs, les organisateurs, les verres partagés avec tous, les amitiés naissantes alors, et la joie de recevoir le prix, bien sûr. Revenir, après une première expérience aussi réussie, c’était prendre le risque de la déception, de céder au travers du vieux schnock qui trouve toujours que c’était bien mieux avant. Cette année, je venais pour assister à la consécration d’un autre. A priori le plaisir allait être moindre. Et pas du tout. Une fois de plus, nous étions rassemblés, et pas par la force des choses, mais pour le plaisir partagé des livres, et c’est quand même ça le plus important, bien avant de savoir qui décroche la timbale. Autour de ces livres donc, nous avons de nouveau fait de belles rencontres, vidé quelques verres et rempli nos têtes de très bons souvenirs, dans la chaleur toujours. Alors, au mépris du péril inhérent au retour, comme je vous l’ai dit au soir qui consacra Alain Guyard jeune Mousquetaire du premier roman(ben oui, il faut quand même le rappeler et le féliciter encore !), je reviendrai. Mais tout bien réfléchi, je n’ai pas besoin pour cela de chercher un prétexte, car j’ai mieux, j’ai une bonne raison, et même des bonnes raisons : des amis. A bientôt donc, les amis !
Jean-Claude Lalumière
Jean-Claude Lalumière et Sylvie Tanette, c’est avec eux que je suis rentré d’Orly en RER. Ils faisaient partie de la joyeuse bande invitée à Nogaro par Éric Busson, professeur de lettres et de cinéma à Nogaro, à l’occasion de la remise du Prix Jeune mousquetaire auquel Stanilas Wails aurait dû se rendre pour La maison Matchaiev, au lieu de traîner ses guêtres au Japon. Étant éliminé de fait par son absence, le prix est revenu à ce malicieux drille d’Alain Guyard pour sa Zonzon, après Le Front russe (passé en poche) du sieur Lalumière. Il y avait aussi Bernard Thomasson, journaliste à France Info, grand amateur de marathon, pour un roman paru au Seuil, Sophie Schulze, publiée comme moi chez Léo Scheer et puis Lydie Salvaire, dont j’ai fait un peu plus connaissance, accompagnée dans la journée par l’éditeur Bernard Wallet.
Je ne vais pas tout relater, cela est impossible, mais il est question d’un livre d’or, alors il convient d’y participer, comme à cette formidable journée dans le Gers. On pourrait évoquer le déjeuner d’accueil – manchons de canard au cassoulet de fèves ! – sous les arcades de La Petite Auberge de Marciac, juste à côté de l’hôtel des Comtes de Pardiac situé aussi sur la grand place, où une chambre avait été réservée, la visite l’après-midi du Château de Laubade, avec dégustation d’Armagnac à la clef, un verre dans un café de Nogaro – où nous sommes revenus à la nuit boire une ou deux bières à la même terrasse – avec les lycéens et les lycéennes ayant participé à la manifestation et au vote, puis la cérémonie suivie du traditionnel débat, de la séance de signature (j’avais pris avec moi quelques Lettres gersoises !) et d’un buffet convivial dans une immense salle des fêtes. Faut-il préciser que le temps était magnifique et chaud, comme en plein mois d’août ?
Ce n’est pas sans un pincement au cœur qu’on regarde après coup les photographies de Jean-Luc Galvan et que je me souviens de cet arrêt en voiture dans la nuit noire à Termes d’Armagnac. Tant de souvenirs… Ils ne peuvent pas savoir… Et moi, qu’est-ce que je sais ? Le passé n’est plus, le présent non plus, mais on espère revenir ne serait-ce que pour cette aventure qu’on appelle littérature !
Serge Safran 10 Juin 2012
D’Artagnan, c’est le héros de toutes les enfances, j’imagine. Peut-être plus encore celui de gens qui ont décidé de saisir leur plume (du chapeau ?) pour accoucher d’une histoire qu’ils ont inventée en se remémorant les invraisemblables chevauchées du cavalier gascon et ses épiques combats. Alors le "Prix Mousquetaire", pour un premier roman, c’est un tampon incomparable à apposer sur une oeuvre naissante !
D’Artagnan, c’est aussi un nom que l’on ne peut prononcer sans y ajouter les trois autres, ceux de ses compères de cape, ce qui signifie que les Trois (quatre) Mousquetaires formaient une fine équipe qui en a vu de belles ! Ça tombe bien, cette année nous étions quatre, nous aussi.
Et on en a vu, nous aussi, de bien belles... entre les caves d’Armagnac, les vignes et collines alentour, les pupilles de tous ces jeunes qui pétillent d’avenir, leurs émouvantes timidités à parler de nous devant nous (mais avec conviction et enthousiasme à souhait), les discussions épiques avec les uns et les autres, les amitiés dont on sent bien qu’elles sont naturelles et authentiques entre Marciac, Montesquiou et Nogaro, les gorgées de Pellehaut ou de Tariquet qui glissent admirablement le long du gosier, et puis les pages de tous ces livres tournées qui prouvent bien qu’heureusement on aime encore s’évader par la lecture, de nos jours.
Voilà, un séjour trop court, une terre qui appelle un retour, et un petit d’Artagnan qui s’en est retourné vers sa Camargue (le mélange des régions c’est encore ce qu’il y a de mieux). Coup d’épée dans l’eau pour les trois autres ? Non, je ne crois pas. D’abord Alain, que j’ai découvert à cette occasion, est un type formidable, dans son travail au quotidien et son action vers les taulards, une conscience qui a su nous rappeler quelques vérités (chaque fois que je pose mes fesses sur une chaise plastique un peu design, je pense à lui...), et un très bon écrivain. Il méritait amplement de l’emporter. Ensuite parce que tout ce que vous nous avez dit, à Nogaro, les mots d’encouragement, les sourires, la manière dont vous avez aimé nos livres, ne peut que nous inciter à continuer dans cette voie délicate qu’est l’écriture. On repart toujours gonflé à bloc quand on se retrouve parmi des gens comme vous.
Que d’Artagnan continue longtemps à décorer de jeunes mousquetaire avides de conquérir le monde !
Amitiés à tous. Et merci à Eric.
Bernard Thomasson, Paris Le 09 Juin 2012
C’était quoi, le mieux ? Les armagnacs hors d’âge ? Le foie gras maison ? La découverte de nouveaux visages, si souriants et sereins à la fois ? Le charme indéniable de l’esprit gascon ? Je ne sais pas..En tout cas, c’était une belle réussite. De vrais journées d’été..
Bonne continuation à cette belle équipe..
Elle le mérite
Incontestablement
Sophie Schulze
Il est très difficile d’expliquer à quel point, quand on publie un premier roman, on est heureux d’être ainsi sélectionné pour le prix Jeune mousquetaire. C’était mon cas cette année et j’en étais vraiment ravie. Surtout, ce fut un plaisir de rencontrer tous ces jeunes et leurs professeurs, des gens qui aiment la littérature. Et j’étais très impressionnée par le sérieux et l’engagement de chacun. Continuez surtout !
Sylvie Tanette
Alors au début, j’ai cru que c’était pour déconner. Rapport à la pièce que j’étais en train d’écrire, moi, dans ma Camargue où j’ai posé mes valoches il y a plus de dix ans, et où je me suis fait une tripotée de copains. Et la pièce, donc, que j’écrivais, au moment où on me dit, "tiens, t’es nominé pour le prix Jeune Mousquetaire", la pièce, donc, elle s’appelle "D’Artagnan de Camargue, Con !"... Parce que le copain qui voulait absolument le premier rôle, mon pote José, ça fait cinquante piges qu’il vit dans le sud de chez sud, et il a un accent camarguais à découper à la tronçonneuse Husqvarna. Et comme tous les camarguais, en plus, dès qu’il commence à jaffer, il te fout des "peuchères", et des "cons" à tous les coins de phrases. Et donc, alors, pour pas se faire chier, la pièce, je l’appelle d’Artagnan de Camargue con...
Et donc alors, j’étais en train de bosser ça quand on me dit (je me répète, mais c’est pour être clair). "Tiens, t’es nominé". Alors je zyteute un peu les gonzes qui sont en lice et je me dis, comme ça, "laisse béton, t’as pas ta chance, les autres c’est des boloss". Et je retourne à mes couillonnades camarguaises. On cale des répèt avec les copains et on en cale une, justement, un ouik-end où on se dit qu’on sera tous peinards...
... Peinards mon cul ! C’est le ouik-end où que je vais recevoir mon prix ! Alors quelle surprise, hein ! Epatant coup du sort !... Primesautier hasard !... Les copains et moi, on en rigole encore !
Et alors, là bas, au pays de D’Artagnan, le vrai, de Gascogne, hein, pas de Pologne ou d’ailleurs, purée quel accueil !...
Toutes ces jeunesses au sein encore haut poiré qui vous regardent l’oeil mouillé d’admire... Et ces petits mectons, délaissant le stade pour s’aboucher de la littérature... Des tas de fraîcheurs, enthousiastes et spontanées, des mignonnes qui font des mines et pétillent des quinquets, qui vous caresse votre bouquin avec des retenues tremblantes, qui vous disent des choses sur vous avec un aplomb à transformer un saint en gogo-dancer...
C’est un bien beau pays, avec de bien belles gens.
Faut y aller.
Ils savent ouvrir un livre, ils savent ouvrir une bouteille, ils savent ouvrir leur coeur.
Alain Guyard
C’est un message juste pour amorcer et tester le "Livre d’Or". Il faut qu’il soit assez long pour pouvoir travailler sur sa présentation.
Jluc
20 mai 2012